Groupe EDLC

Generic selectors
Exact matches only
Search in title
Search in content
Post Type Selectors

L’Île des Esclaves – Groupe EDLC

L’Île des Esclaves

UN JEU DE MIROIRS RÉJOUISSANT

 

Survivants d’un naufrage, Iphicrate et Euphrosine, accompagnés de leurs esclaves, Arlequin et Cléanthis, échouent sur une île gouvernée par des esclaves fugitifs. Les lois de cette nouvelle république imposent aux maîtres de devenir esclaves et aux esclaves de devenir maîtres dans le but de rééduquer ces derniers.
Trivelin, gouverneur de l’île et garant de ses lois, explique le processus de rééducation aux naufragés. Les maîtres vont perdre leurs noms et leurs habits qu’ils doivent céder à leur valet et servante, Arlequin et Cléanthis. Ils devront écouter le portrait cruel que feront d’eux leurs serviteurs et reconnaître sa véracité. L’épreuve des maîtres atteindra son paroxysme lorsque Arlequin et Cléanthis, galvanisés par leur nouveau statut, projetteront un double mariage – le valet avec la maîtresse et la servante avec le maître. Bouleversé par les pleurs d’Euphrosine, Arlequin se laisse émouvoir. Les serviteurs pardonnent à leurs maîtres. Les maîtres affranchissent leurs valets. Trivelin satisfait, consacre cette humanité retrouvée de part et d’autre.

LA PRESSE EN PARLE

 

« Un classique respecté dans son esprit autorise toutes les initiatives pour le plus grand plaisir des spectateurs, heureux d’avoir pu profiter de toutes les saveurs d’une langue nourrissante. » Olivier Olgan

Publié le 27 avril 2024 par Singulars, L’art de vivre festif et engagé.

 

« La mise en scène enlevée, maniant élégamment les codes de la commedia dell’arte et l’interchangeabilité des costumes, signée Stephen Szekely, le jeu des comédiens qui avec panache se colore de bouffonnerie font de ce pur produit du Siècle des Lumières – qui continuera toujours, on l’espère, à nous éclairer – un moment de théâtre instructif et réjouissant. » Pierre Corcos

Publié le 25 avril 2024 par Verso-Hebdo.

 

« Réjouissant, Pétulant, Dynamique. » Claudine Arrazat

Publié le 17 avril 2024 par Critique Théâtre Clau.

 

“Mission accomplie dans cette mise en scène au cordeau qui assure la truculence d’une pièce portée par le plaisir du jeu que prennent les comédiens à en assurer toutes les extravagances bouffonnes. Et pour les spectateurs, quel plaisir !” Dany Toubiana

Publié le 16 avril 2024 par La SouriScène.

 

« Beau jeu d’acteurs ! » Marie-Christine

Publié le 12 avril 2024 par Carré d’Or TV.

 

« Ce groupe de jeunes comédiens apporte une fraîcheur bienvenue à l’oeuvre, démontrant comment la littérature peut être visionnaire, reflétant les luttes contemporaines pour l’égalité et la justice. » Frédéric Bonfils

Publié le 11 avril 2024 par Foud’Art.

 

« Cette courte comédie est parfaitement servie par une équipe de cinq comédiens qui s’en donnent à cœur joie, dans la jubilation pour la langue de Marivaux ; et pour le plus grand plaisir du public. (…) Un spectacle intelligent, drôle, utile en des temps où règnent l’égoïsme, la frivolité et la violence. » Christian Kazandjian

Publié le 11 avril 2024 par La Grande Parade.

 

« La pièce est savoureuse : par la grâce de ses personnages, bien sûr, mais aussi du ton, plutôt léger, qui multiplie (…) les trouvailles humoristiques ou brillantes. (…). Le décor est magnifique : on est frappé dès le début par la recherche en la matière et le brio des éclairages. Côté mise en scène, rien à redire : le tout est orchestré avec fluidité, allant et le résultat est efficace. Laurent Cazanave (c’était lui Trivelin, ce soir-là) a l’autorité et la faconde requise pour un tel rôle. Sobriété et dignité pour Lucas Lecointe et Marie Lonjaret, les maîtres. Lyse Moyroud se taille un joli petit succès en Cléanthis, la palme revenant à Barthélémy Guillemard qui semble né pour jouer (entre autres) Arlequin : il est vif et malicieux, bonhomme quand il faut et retors, un peu, car il faut ce qu’il faut.
Au final une soirée réjouissante, pour tous bien sûr. » Gérard Noël

Publié le 12 avril 2024 par RegArts.

 

« Les dialogues de Marivaux sont truculents. La mise en scène revisitée de ce classique par Stephen Szekely, légère et inventive, s’inspire de la commedia dell’arte. Les décors et les costumes, élémentaires et intemporels, portent l’attention du public sur le texte et le jeu des jeunes comédien(ne)s, tous généreux, émouvants et talentueux. Quant à l’intrigue au propos universel, elle tire autant vers la comédie que la tragédie.
L’île des Esclaves, un voyage au pays de l’humanisme teinté d’humour et de poésie. Embarquement au Lucernaire. » Isabelle Levy

Publié le 10 avril 2024 par Coup2théâtre !

 

« Un texte très drôle, et parfois on distingue des propos avant-coureurs, de la future Révolution de 1789. Les comédiens sont admirables, et admirés par une salle pleine, qui n’a pas ménagé ses applaudissements. La Mise en Scène, est totalement somptueuse !!! » Anne Gouinguenet

Publié le 10 avril 2024 par Sorties-a-paris.

 

« Quelques trouvailles de mise en scène de Stephen Szekely avec sa compagnie EDLC (Les Échappés de la Coulisse) : les chorégraphies initiale et terminale, un Trivelin magicien à la manière du Prospéro de La tempête, la manipulation que Cléanthis fait à un moment d’Euphrosine comme une marionnette… » André Robert

Publié le 6 avril 2024 par L’Ours.

 

« J’ai toujours un faible pour l’écriture de Marivaux. Cette comédie sociale l’illustre bien. Suite à un naufrage, les rôles s’inversent les maîtres deviennent serviteurs et leurs domestiques seigneurs. Tous ces jeunes acteurs de La Compagnie sont excellents. Les adolescents peuvent emmener leurs parents au Lucernaire. » Viviane de Boutigny

Publié le 10 avril 2024 par Choses Vues.

 

« On les félicitera (…) d’être conscients de la chance qu’ils ont de porter la parole de Marivaux dans une version dépoussiérée qui a tout pour devenir un classique aussi vivant que réjouissant. » Philippe Person

Publié le 8 avril 2024 par  Froggy’s Delight.

 

« Pour cette pièce prémonitoire et visionnaire, les acteurs sont vifs et talentueux, mimant la scène de naufrage initial, avant la représentation, en faisant danser dans le chaos maritime leurs corps désarticulés, au dénouement, les mêmes chorégraphient leurs mouvements expressifs en un ballet ordonnancé et allègre de belle réconciliation. » Véronique Hotte

Publié le 4 avril 2024 par  hottello.

De Marivaux

Par Stephen Szekely

Avec Laurent Cazanave/Michaël Pothlichet, Barthélemy Guillemard, Lucas Lecointe, Marie Lonjaret, Lyse Moyroud

Création sonore et musicale Michaël Pothlichet

Chorégraphie Sophie Meary

Scénographie Juliette Chapuis

Lumière Jonathan Oléon

Crédits photos Helen Dersoir

Attachée de Presse

Catherine Guizard | La Strada & Cies

Chargées de Diffusion

Emma CROS & Sylvie CHENARD | La Strada & Cies

LA PRESSE EN PARLE

 

« Cette « rééducation » utopique offre un brin de fraîcheur, une fantaisie bien agréable et les chorégraphies qui structurent la pièce sur une belle bande-son et de beaux éclairages participent à ce joli voyage en Utopie. Bon casting, belle mise en scène et, cerise sur le gâteau… Pour tout public. Allez-y ! » Patrick Adler.

Publié le 24 avril 2024 par Tatouvu avec Starterplus / le Club.

 

« La mise en scène de Stephen Szekely (avec la jolie scénographie de Juliette Chapuis), fait tenir toute l’intrigue de cette courte pièce en une heure et dix minutes. Dans une ambiance qui emprunte à la commedia dell’arte et au théâtre de tréteaux, où le mouvement fait part égale au texte. Un espace dans lequel les jeunes comédiens se démènent avec conviction. » Gérald Rossi

Publié le 14 avril 2024 par L’Humanité.

 

« Outre le rythme alerte de la pièce, soulignons le joli brin de voix de Marie Lonjaret les respirations musicales de Laurent Cazanave au Ukulélé et les chorégraphies endiablées qui enjolivent cette belle pièce. » Laurent Schteiner

Publié le 13 avril 2024 par Sur les Planches.

 

« Tout est affaire de dialogues et chez Marivaux ils sont brillants ! Les jeunes comédiens les portent avec talent. Barthélémy Guillemard campe un Arlequin léger, insolent, leste à esquiver les coups et Lyse Moyroud une Cléanthis d’une ironie féroce sur les travers de sa maîtresse, clairvoyante sur ce que cache de vanité et de jalousie ses manières de coquette qu’elle imite à la perfection.

Une mise en scène intelligente, fidèle à Marivaux, capable de faire réfléchir tout en faisant rire et qui trouve son écho aujourd’hui. Comment pouvons-nous accepter la conscience tranquille cette barbarie qu’est l’injustice des conditions et comment la détruire pour refonder un ordre plus juste où ce qui compte est la nature de l’homme et non sa position sociale ? » Micheline Rousselet

Publié le 12 avril 2024 par Cultures Blog SNES-FSU.


Retour aux productions


Aller au contenu principal